Economie

Voiture hybride : quand atteint-on le seuil de rentabilité

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Bonus écologique, prime à la conversion… Passer au véhicule hybride peut être tentant. Mais attention, l’économie de carburant polluant n’est pas automatique.

Juliette Vilrobe
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Illustration de l'article Voiture hybride : quand atteint-on le <span class="highlighted">seuil de rentabilité</span> ? 

© Francois HENRY/REA.

Les voitures hybrides sont souvent perçues comme un bon mix entre écologie et puissance. À raison, puisque l’électrique permet de mettre en pause le moteur thermique, qui sera utilisé pour monter dans les tours.

La ressource électrique est alors utilisée ainsi  : dans un hybride non rechargeable, les batteries font démarrer la voiture et ont quelques kilomètres d’autonomie en ville à faible vitesse, le moteur à combustion prend ensuite le relais.

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Les batteries se rechargent automatiquement lors du freinage et de la décélération. Dans un véhicule hybride rechargeable, les batteries sont plus puissantes, elles ont plus d’autonomie et doivent être branchées à une prise pour se recharger complètement.

En Chiffres

6 000 euros

Le surcoût d'un véhicule hybride par rapport à une voiture à moteur thermique.

L’avantage des deux modèles est d’utiliser le plus possible le moteur électrique pour réduire la pollution émise par la combustion du carburant. Moyennant un surcoût : un hybride coûte en moyenne 30 000 euros, selon le magazine Auto Plus.

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