
Économie circulaire, valorisation des déchets, développement des énergies nouvelles, rénovation des bâtiments, transformation de l’agriculture : les métiers liés à l’environnement vont exploser. Selon les chiffres de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), la transition écologique pourrait créer jusqu’à 345 000 emplois en France d’ici 2035 et 900 000 d’ici 2050. Il s’agit soit de métiers qui évoluent pour s’adapter à la transition écologique, soit de métiers qui n’existent pas et qui vont apparaître en fonction de l’évolution des technologies.
Le bâtiment, ce pourvoyeur d'emplois
Car travailler dans l’économie verte, ce n’est pas forcément être au contact de la nature. Une grande majorité des métiers de la transition vont s’exercer dans un cadre moins bucolique. À commencer par le bâtiment, premier secteur concerné puisqu’il est le premier consommateur d’énergie et le premier émetteur de gaz à effet de serre en France. La rénovation énergétique des bâtiments va toucher 500 000 logements en France, un chantier colossal qui nécessitera énormément de main-d’œuvre et de compétences. Deuxième secteur concerné, les transports. Viennent ensuite l’industrie, y compris tout ce qui touche à la valorisation des déchets, le développement des énergies nouvelles (éolien, solaire…), l’agriculture ou l’exploitation des forêts (sylviculture).

Économie circulaire, valorisation des déchets, développement des énergies nouvelles, rénovation des bâtiments, transformation de l’agriculture : les métiers liés à l’environnement vont exploser. Selon les chiffres de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), la transition écologique pourrait créer jusqu’à 345 000 emplois en France d’ici 2035 et 900 000 d’ici 2050. Il s’agit soit de métiers qui évoluent pour s’adapter à la transition écologique, soit de métiers qui n’existent pas et qui vont apparaître en fonction de l’évolution des technologies.
Le bâtiment, ce pourvoyeur d'emplois
Car travailler dans l’économie verte, ce n’est pas forcément être au contact de la nature. Une grande majorité des métiers de la transition vont s’exercer dans un cadre moins bucolique. À commencer par le bâtiment, premier secteur concerné puisqu’il est le premier consommateur d’énergie et le premier émetteur de gaz à effet de serre en France. La rénovation énergétique des bâtiments va toucher 500 000 logements en France, un chantier colossal qui nécessitera énormément de main-d’œuvre et de compétences. Deuxième secteur concerné, les transports. Viennent ensuite l’industrie, y compris tout ce qui touche à la valorisation des déchets, le développement des énergies nouvelles (éolien, solaire…), l’agriculture ou l’exploitation des forêts (sylviculture).
Tous ces secteurs feront appel à des compétences à tous les niveaux, depuis les bac + 5 jusqu’aux métiers à faible qualification, depuis l’ingénieur en environnement ou en éco-conception jusqu’à l’ouvrier polyvalent du bâtiment durable, l’installateur de panneaux solaires ou le technicien en méthanisation.
À noter que ces emplois présentent deux avantages importants dans le contexte actuel en France : ils ne seront, pour la plupart, pas délocalisables, puisqu’ils concernent le bâtiment, les installations solaires ou éoliennes, l’agriculture ; et ce seront souvent des emplois de terrain, implantés dans les territoires. Une réponse à l’envie de bien des jeunes adultes de rester éloignés des grandes métropoles bruyantes et polluées, pour mener une vie plus en phase avec leurs aspirations.
L’économie verte c'est :
16,5 % des offres d’emploi en 2017 (+17 % par rapport à 2016), selon Pôle Emploi. Un bénéfice net en emplois, malgré les réductions dans les énergies fossiles : +340 000 emplois d’ici 2035, +900 000 d’ici 2035, selon le ministère de l’Environnement.